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Need Prozac

11 octobre 2008

Quidam.

Humainement, il est impossible de déchiffrer et d'analyser tous ses sentiments. Humaine, je suis incapable de décrire avec exactitude mes impressions et mes envies. Nous restons tous dans le flou, le flou des non-dits, non-réussits-à-être dit. D'accord. Mis que dire, en ce cas, lorsque nous souhaitons une chose passionément mais que celle-ci est in-disable? Parce-que les mots précèdent la pensée, qu'ils la developpent, que plus il y a de mots, plus il y a de pensée possible, donc, de sentiments. Une panoplie de sentiments, comme une palette de couleurs. Ca me fait penser au dernier film d'Allen et ces peintres transits qui d'acharnent sur leur toile, comme habités. Habités par leurs sentiments qui, faute de mots assez représentatifs de ceux-ci, sont extériorisés par la couleur, le mouvement. Ainsi vit l'art, musique, peinture, sculture, photographie, poésie. Poésie qui transforme les mots; qui, de par des syntaxes, des procédés, transmet également des non-réussits-à-être dit.

Soit.

Je pense alors à celle qui rêve éveillé, qui goûte aux saveurs du mouvement, du rire et de la passion. Du travail, aussi. Je pense donc à ce petit bout de tout qui évolue maintenant seule, une tutelle lointaine. Elle avait peur de la solitude, maintenant, elle la sublime. Une solitude créatrice de pensées intelligibles ou non, tout le temps vouées aux rêves, aux espérances. Et l'éspoir, c'est elle. Ou moi, ou toi. Alors bon, malgré les éxès d'alcool, les désillusions amoureuses, les plantages dans les études ou autres&autres...
Moi je vais bien & je vous conseille d'en faire autant.

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11 octobre 2008

Rejette Casse Renvoie.

Puisque tout le monde est censé changer, même si c'est imprevu, incongru voir non voulu.
Les autres se lasseront de ces changements, soit. Mais peripéties et mirage de vie nouvellement interessante me font penser que je peux m'octroyer le droit d'avoir un blog sur moi et non sur ce que j'ai envie de montrer. A la manière des "Clones descendent Gare du Nord", Je commence une démarche purement nombriliste et balance à vos faces hébétées, ininteressées, mais néanmoins scotchées ce clonage de vie banalisée. (héhéhé. pour finir un semblant de rime)

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